Le mot « Génie » est issu du latin « genius ». Ce concept désigne une personne dotée d’une intelligence supérieure à la moyenne, qu’Aristote, philosophe grec, appelle « peritoi andres », « hommes d’exception », « peritoi » signifiant « extraordinaire », « qui dépasse la moyenne ».
La mesure de l’intelligence
Plus tard, à l’époque contemporaine, ce terme évolue et se conçoit comme une « facilité » naturelle de la personne pour assimiler le savoir et créer. Les génies sont aussi désignés par le terme « surdoués » et, il est bon de savoir qu’il existe un instrument universellement admis pour évaluer l’intelligence de l’homme, le quotient intellectuel, « QI ». Et que si une intelligence moyenne se situe entre 90 et 110, les surdoués et les génies vont largement au-delà, comme nous allons le voir.
- Dans les lignes qui suivent, quelques exemples tirés de l’histoire : Albert Einstein, le grand savant avait un QI de 145.
- Terence Tao, mathématicien australien de 42 ans, avec un QI de 230, est considéré comme l’homme le plus intelligent au monde actuellement.
- Dans le passé, William James Sidis, véritable prodige américain, né en avril 1898 et mort en juillet 1944, est un extraterrestre.
Tenez ! Il marche à l’âge d’un an et demi, lit le New York Times à 4 ans, étudie le latin à 3 ans et, alors qu’il n’a que 8 ans, parle déjà huit langues dont le français, l’hébreux, le turc. Il parlera 40 langues et dialectes au cours de sa courte vie. Il réussit l’exploit, à 8 ans, de présenter l’examen d’entrée à la célèbre université Harvard. Vu son âge, il doit attendre sa onzième année pour l’intégrer effectivement. Dans la vie de cet homme, qui est considéré aujourd’hui comme l’un des plus grands génies de l’histoire, il s’est passé beaucoup d’autres choses que l’on peut retrouver dans l’ouvrage « La vie parfaite de William Sidis » que l’écrivain Danois, Morten Brask, a écrit sur lui, en 2013.
Un mot tout de même sur la fin de vie de cet homme, qui, malgré ses capacités intellectuelles extraordinaires n’avait pas réussi à s’adapter au monde réel. Ses prises de positions politiques le mettent en difficulté avec ses parents et l’establishment américain ; en effet, se déclarer ouvertement socialiste et pacifiste, aux Etats-Unis, en 1919, c’est-à-dire deux ans à peine après la révolution bolchévique, en Russie, est un crime. Pour lui éviter la prison, ses parents le présentent comme un fou. Il sera interné.
Aujourd’hui, c’est d’abord à un jeune belge, Laurent Simons, que « Clin d’œil » veut rendre hommage avant de réserver à nos lecteurs une immense surprise.
Digne successeur des William Sidis, Terence Tao, Albert Einstein, Isaac Newton, ce garçon est reconnu pour sa capacité de mémorisation exceptionnelle et présente un quotient intellectuel de 145, comme l’illustre Albert Einstein.
Laurent Simons termine ses études primaires à 4 ans ; à 9 ans, il est bachelier en Physique, de l’université d’Anvers et, à 12 ans, il obtient, en un an, au lieu des deux requis, un master en Physique Quantique avec 88,5%. Il considère qu’il n’a pas atteint son maximum et se prépare à étudier la médecine avec l’ambition affichée de participer à l’élaboration d’organes artificiels.
La surprise ?
Deux fois plus génial que Einstein !
Elle est tellement extraordinaire que nous prenons soin de citer nos sources afin que chacun puisse procéder à ses propres vérifications :
africatosuccess.com ; vudaf.com.Insolite : Calm. Info.revue-innovations ; ci.opera.news.
Il s’appelle Jean Baptiste Franklin, de nationalité française, mais d’origine africaine.
Ce garçon présente la « surnaturelle » caractéristique d’avoir 3 cerveaux. À dix ans, il est devenu, en 2018, l’enfant le plus intelligent au monde, avec un QI de 319, soit plus du double de celui du grand Einstein.
Il a pu mémoriser la Bible, le Coran et la Torah, en moins de 3 heures ; il a compris et assimilé les théories de Einstein sur la relativité ainsi que l’ensemble de la mécanique quantique. Et, il enseigne la théorie des cordes à l’université depuis un temps déjà.
Le rêve de Jean Baptiste ? devenir footballeur, plus tard….
Don universellement distribué
La sublime intelligence dont ces génies sont dotés, est un don de la nature ou une grâce divine, c’est selon. Elle se retrouve à travers l’humanité entière ; il appartient à ceux qui ont la charge de diriger de mettre en place les mécanismes de leur identification, pour un soutien et un accompagnement adéquat. Les vœux pour Laurent Simons et JB Franklin ? Qu’au-delà de ses extraordinaires exploits intellectuels, ils puissent, adultes, trouver sa place dans la société et mener une vie familiale harmonieuse, contrairement à William James Sidis.
