La réunion convoquée par le Conseil œcuménique des Églises chrétiennes de Madagascar (FFKM) le 26 septembre avait pour objectif d’apaiser les tensions qui entourent la campagne présidentielle.

La rencontre prévue pour apaiser les tensions préélectorales qui sont apparues a toutefois été marquée par l’absence remarquée du président sortant, Andry Rajoelina. Ce qui a jeté une ombre sur cet événement crucial.

Les 13 candidats à la présidentielle se sont réunis pour discuter des problèmes qui agitent le pays. L’absence d’Andry Rajoelina, qui est au cœur de ces tensions, a suscité des interrogations. Certains candidats espéraient qu’il clarifierait sa position concernant les allégations de menaces physiques et morales qui pèsent sur lui.

Persistance de zones de turbulences malgré les tentatives de conciliation

Manifestation de l’opposition au centre de la capitale malgache – Image d’archive(AFP PHOTO / RIJASOLO )

Madagascar traverse une période de turbulence politique en raison de l’élection présidentielle à venir. Les candidats sont confrontés à des défis importants, notamment des allégations de manipulation du gouvernement actuel en faveur d’Andry Rajoelina. Cette situation crée un climat tendu et incertain.

Malgré l’absence d’Andry Rajoelina à cette réunion, les parties prenantes ont convenu de se rencontrer à nouveau. Les représentants des candidats sont également ouverts à dialoguer avec le FFKM, qui aspire à jouer un rôle de médiateur dans la crise politique. Cependant, la confiance en ces démarches reste mitigée parmi les candidats. L’avenir politique de Madagascar demeure toujours incertain, malgré les tentatives de conciliation.

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